Dans un entretien exclusif accordé à CritiquePolitique, Denis Agret, médecin français spécialisé en santé publique et en urgence, se livre sur sa vision des politiques de vaccination en France, notamment en ce qui concerne les risques des vaccins contre la Covid-19.
Après avoir été radié de l’Ordre des médecins en 2024 en raison de ses positions antivax controversées, Agret ne cesse de dénoncer ce qu’il considère comme des abus de pouvoir et des mensonges des autorités sanitaires. À travers ses critiques, il s’impose comme un lanceur d’alerte. Dans cet entretien, il expose ses inquiétudes sur les effets des vaccins et propose des réformes pour garantir une approche plus transparente et sécuritaire.
Les risques des vaccins Covid-19
1. Quels sont les risques spécifiques des vaccins actuels contre la Covid-19 que vous avez identifiés, et comment proposez-vous de les gérer ou de les atténuer ?
Les risques majeurs sont les complications cardiovasculaires liées aux myocardites. Il est impératif de mettre en place un dépistage national de la population vaccinée, en particulier chez les jeunes, qui sont les plus vulnérables. Un traitement adapté devrait être proposé, comme décrit dans mes articles. Lire ici.
2. Vous avez été radié de l’Ordre des médecins en 2024 ; comment cela a-t-il impacté votre travail et votre capacité à communiquer vos opinions sur la santé publique ?
J’ai fait appel au Conseil d’État pour annuler cette décision de radiation que je considère inique. Le juge de la chambre disciplinaire nationale, Monsieur Luc Derepas, avait un conflit d’intérêt avec Pfizer, ce qui rend cette sanction invalide. Mon message reste inchangé : il est basé sur des faits, des preuves irréfutables. Lire ici.
3. Comment voyez-vous l’évolution des politiques de vaccination en France, et quelles réformes ou changements suggéreriez-vous pour garantir une approche plus sûre et transparente ?
Les vaccins pédiatriques entraînent des vascularites et des myocardites, tout comme les vaccins contre la Covid-19, une révélation stupéfiante. Ces effets comportent des risques cardiovasculaires graves pour les enfants. Il est donc urgent de lever l’obligation vaccinale et de quantifier ces risques afin de mieux les prévenir. Lire ici.
4. Vous avez appelé à une étude sur les effets des vaccins de 2021 à 2024. Quels sont les éléments clés que cette étude devrait examiner, selon vous, et pourquoi est-ce si crucial pour la santé publique ?
L’étude doit se concentrer sur les risques cardiovasculaires liés aux vaccins Covid-19. Il est essentiel de reproduire l’étude Epiphare, publiée en janvier 2022, pour la période de juillet 2021 à décembre 2024. Cela permettra de quantifier le sur-risque probable d’infarctus, AVC, et embolie pulmonaire. Lire ici