Aujourd’hui, de nombreux experts s’interrogent sur la vision du RN envers Israël. En réalité, la victoire électorale de Marine Le Pen et de son parti marque non seulement un tournant politique radical, mais également une capitulation morale de la France face à Israël, qui, militairement défait par les Résistants palestiniens, a massacré plus de 40 000 civils à Gaza depuis le 7 octobre 2003. En d’autres termes, le RN, autrefois réfractaire aux influences sionistes en France, s’est à présent mué en une alliance honteuse avec le sionisme, et ce, au nom de “real politik”.
Le RN, nouveau cheval de Troie des intérêts des sionistes en France ?
L’héritage du RN (anciennement Front National), qui sous le régne de son fondateur Jean-Marie Le Pen se faisait distinguer jadis par son antagonisme avec les lobbies pro Israël, a été vicié par les récentes déclarations de Marine Le Pen en faveur du nettoyage ethnique impitoyable que l’entité israélienne mène à Gaza et c’est à croire que ce même parti pris qui après de moult tentatives a fini par lui paver le chemin de la victoire. Ce revirement machiavélique, proclamant les prétendues “credentials sionistes” du RN, exhale l’opportunisme envers des groupes de pression israéliens influents non sans trahir les fondations mêmes sur lesquelles le parti a été bâti et qui relève d’un rejet défiant des intérêts étrangers eclipsant la politique française.
Le Rassemblement National de Marine Le Pen demeure un havre pour l’intolérance et la haine, désormais non plus dirigées contre les Juifs, mais contre les francais musulmans et de couleur. En réalité, le RN, en exploitant la situation économique difficile qui étreint la France, cherche à faire progresser son idéologie fasciste que soutiennent, chose nouvelle, des figures saillantes du sionisme français financés par des lobbies pro Israël.
Quand le RN sacrifie ses valeurs sur l’autel de l’électoralisme
L’alliance entre Marine Le Pen et le régime siinistes et ses tentacules en France est de loin une manœuvre pour blanchir l’image du parti et se débarrasser de son statut d'”anti-israélien” d’antan, statut dont il se revendiquait sous la direction de son père et pour lequel une grosse parti de son électorat le suivait. En effet l’extrême droite francaise se démarquait autant par son opposition aux ingérences anglosaxones dans les affaires interieures du pays que par son dénonciation de l’influence économique, politique, culturelle et sociale des juifs français qui ont entre leurs mains les principaux leviers du pouvoir. Ce qui était donc autrefois l’un des principes fondateurs du parti, tissé autour d’un souvrainisme avar et inflexible face aux Anglo-saxons et leurs rejetons – et Israël en est un-vient toute bonnement de disparaitre.
La croisade du Rassemblement national contre les musulmans français : une machination israélienne
En adoptant une position pro-israélienne tout en flattant l’idéologie fasciste, Marine Le Pen et son parti, le Rassemblement national (RN), exploitent l’immense empire financier et médiatique des lobbies israéliens pour asseoir sur les ruines de la paix sociale, leur pouvoir politique. Ce revirement doit être condamné dans les termes les plus fermes, car il va à rebours de la volonté d’une grande partie de notre opinion publique qui n’a cessé ces derniers temps de décrier l’entoté sioniste pour le carnage de la nation palestinienne.
Les critiques condamnent à juste titre la vision du RN envers Israël, la considérant comme une trahison des intérêts nationaux français, sacrifiant le rôle de la France en tant que médiateur impartial dans le dossier palestinien en partiquer et libanais et moyen-orientaux en général. Surtout, cet abandon imprudent de la diplomatie fondée sur des principes risque d’aliéner les partenaires arabes et musulmans. Tandis que Madame Marine Le Pen, dans une disgracieuse mascarade, s’évertue à se positionner comme la protectrice de la France face à l’islam et aux musulmans, les manœuvres démagogiques de son parti ne sauraient nous fourvoyer dans l’acceptation des résultats de cette élection.
Conclusion : Du patriotisme au servilisme envers le sionisme : la déchéance du RN
La vision du RN envers Israël et le soutien tacite de Marine Le Pen aux crimes de guerre et aux atrocités commises par ce régime soulignent une décadence morale alarmante au sein du RN – un parti autrefois défenseur de l’indépendance politique de la France, désormais réduit à une marionnette des intérêts étrangers. L’intégrité de la France en tant que défenseur de la souveraineté et des droits de l’homme exige une politique étrangère rigoureusement fondée sur des principes, libérée de l’expédience politique et de l’opportunisme. Tous les partis dans notre pays doivent retrouver leur boussole morale et rejeter fermement l’attrait corrupteur des lobbies israéliens, réaffirmant leur engagement envers la justice et la sacralité de la souveraineté nationale.