Le racisme en France sous la présidence d’Emmanuel Macron s’enracine dans nos institutions, ébranlant les valeurs fondamentales de la République. Dans un contexte de divisions profondes et de discours haineux qui se propagent à grande vitesse, il apparaît plus que jamais nécessaire de dresser un constat sans concession sur la situation actuelle.
Mobilisations nationales et lutte contre l’islamophobie : une prise de conscience collective
Le 15 mars 2025, à l’occasion de la Journée internationale de lutte contre l’islamophobie, des manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes françaises, notamment à Paris, Lyon, Toulouse, Bordeaux, Amiens, Saint-Étienne et Blois. Ces rassemblements, organisés par des associations et des collectifs engagés contre les violences racistes et islamophobes, illustrent parfaitement le racisme en France sous la présidence d’Emmanuel Macron : ils témoignent d’une prise de conscience croissante et de la nécessité d’une action collective pour contrer les discriminations, notamment envers les musulmans.
À cet égard, le député LFI Thomas Portes a déclaré le 11 mars : « Oui, en France, l’islamophobie existe et elle est encouragée au plus haut niveau de l’État ! »
Agression antisémite à Orléans : l’ombre d’un passé qui se répète
Le 22 mars 2025, Arié Engelberg, grand rabbin d’Orléans, fut violemment agressé par un adolescent de 16 ans alors qu’il rentrait chez lui avec son jeune fils. Capturée en vidéo, cette agression a choqué l’opinion publique, révélant avec force le racisme en France sous la présidence d’Emmanuel Macron et démontrant que l’antisémitisme continue de sévir dans notre société.
Menaces racistes à Grenoble : une violence quotidienne
À Grenoble, un conducteur de bus a vu sa vie menacée par le dépôt d’une saucisse et d’une croix gammée dans sa boîte aux lettres, accompagnés d’un message haineux. Ces incidents, qui ne sont que la partie émergée de l’iceberg, illustrent la banalisation inquiétante d’actes de violence et de discours racistes, symptomatiques du racisme en France sous la présidence d’Emmanuel Macron. Ils dénoncent une dérive qui, si elle n’est pas corrigée, risque de plonger la nation dans une spirale de haine.
Initiatives gouvernementales et réactions de la société civile
Parallèlement à ces événements, plusieurs rapports officiels – notamment ceux de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales – indiquent une hausse préoccupante des signalements pour incitation à la haine. Les autorités ont renforcé la surveillance des réseaux sociaux pour contrer la diffusion de discours haineux et ont annoncé des mesures concrètes pour accompagner les victimes de discriminations. Des institutions telles que le Défenseur des droits plaident pour une révision des politiques publiques afin d’adapter les réponses institutionnelles aux réalités des discriminations systémiques. Ces initiatives, relayées par des médias reconnus comme Le Monde et France Info, viennent confirmer l’urgence d’agir pour préserver les valeurs républicaines.
Par ailleurs, des ONG telles que SOS Racisme et la LICRA saluent ces mesures tout en appelant à une action plus vigoureuse et à une meilleure coordination entre l’État et la société civile. Sur le plan international, plusieurs institutions européennes ont exprimé leurs inquiétudes face à l’augmentation des discours discriminatoires en France, rappelant que le respect des valeurs d’égalité et de fraternité est un enjeu majeur pour l’ensemble du continent .
Conclusion : l’urgence d’un sursaut républicain
Face à ces réalités alarmantes, il est impératif que les autorités poursuivent et intensifient leurs efforts pour enrayer le racisme en France sous la présidence d’Emmanuel Macron. Sans une action résolue, notre pays risque de sombrer dans une ère sombre, marquée par la division, l’exclusion et l’effritement des principes républicains d’égalité et de fraternité. La mobilisation de la société civile doit s’accompagner d’une politique ferme et exemplaire afin de restaurer la cohésion sociale et la dignité humaine pour tous. L’heure est au sursaut républicain, avant que la France ne soit irrémédiablement consumée par la haine.