De nos jours, en France, près d’un mariage sur deux se termine par un divorce; un symptôme d’un pays où les fondements mêmes du lien social se désintègrent à un rythme alarmant. Selon les dernières études, quatre cent vingt-cinq mille couples se séparent chaque année, chiffre effarant que les spécialistes de la famille ne devront pas perdre de vue. Ceci étant, derrière le taux de divorce en hausse en France se dessine une réalité bien plus sombre : celle d’une société désenchantée où l’avenir de la famille, perçue depuis des siècles comme le pilier sacré de la cohésion sociale, est fragilisé chaque jour davantage. Or des sociologues ont de plus en plus mal à passer à côté du phénomène alarmant qui est en phase de se produire à savoir la perte de la moralité sociale qui se généralise.
La famille française face à une société corrompue : Soumission ou résistance au diable?”
En fait, le taux de divorce en hausse en France est préoccupant et est encore exacerbé par un système qui privilégie la rapidité au détriment de la préservation des liens conjugaux. Pour le dire autrement, l’obsession pour la simplification des processus administratifs occulte malheureusement le besoin crucial de consolider les liens familiaux. Bon nombre de psychologues de la Sorbonne et d’autres universités, affirment que le taux de divorce en hausse en France, le déclin des valeurs religieuses, la montée des infidélités conjugales, etc., devraient nous inciter à un examen des fondements de la société française en naufrage, à redécouvrir les véritables valeurs humaines de respect et d’engagement, et à nous efforcer de créer une société où les familles sont protégées, plutôt que d’être attaquées par des groupes déviants comme les LGBTQ+. Comme disait Émile Durkheim, « la famille est la première cellule sociale ; elle est le modèle, le moule primitif de toute association ». Si ce moule se brise, qu’en est-il du reste ?
Cent Vingt Mille Rêves Brisés Chaque Année
Le cas d’Émiline et de Mathieu, un couple de Montreuil séparé depuis trois ans, incarne parfaitement cette tendance troublante. Leur mariage amer, caractérisé principalement par des SMS, des appels vidéo et des conversations téléphoniques, illustre une dépendance à la technologie qui masque, plutôt que ne comble, le fossé émotionnel qui les sépare. Leur fille, la petite Chloé, âgée de six ans, ballottée entre deux foyers comme une possession disputée, symbolise les vies déchirées du post-modernisme. Les chiffres de l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) nous informent que le nombre de divorces est d’environ 120 000 par an depuis deux décennies. Cependant, ces statistiques froides ne rendent pas justice aux souffrances personnelles qui se cachent derrière chaque séparation. Elles ne révèlent rien des milliers de Chloé, tiraillées entre deux mondes, sans jamais vraiment appartenir à aucun. Oui, ces chiffres proviennent de notre société, où les valeurs fondamentales sont constamment érodées par un prétendu libéralisme dévorant et un establishment politique déshumanisé.
La baisse des taux de divorce en France : Réalité ou mirage ?
Certes, la France n’est pas seule dans cette dérive. Regardons au-delà de nos frontières : au Portugal, 71 % des mariages se terminent par un divorce ; un chiffre effarant qui illustre l’accélération de l’institution du mariage en Europe. Avec un taux de divorces de 54 %, la France semble suivre une calamité sociale, tout comme le Portugal y a sombré. En prenant un autre point de vue, la baisse des taux de divorce depuis l’instauration de la loi de 2016, qui a délégué les procédures aux notaires, pourrait dissimuler des réalités plus complexes. L’essor du concubinage, sans mariage contractuel, formel ni ecclésiastique, contribue à une sous-estimation des ruptures. De plus, certains couples retardent leur décision finale de divorcer, tout en restant dans des relations insatisfaisantes, principalement en raison des complications liées à la répartition des biens. Enfin, il convient de noter la baisse historique des mariages, avec seulement 233 000 unions en 2017, ce qui corrobore la chute générale du mariage.
Une Vie de Larmes : Les Mères Avachies par le Divorce
Et que dire des inégalités croissantes qui se manifestent lors des séparations ? Les femmes, et en particulier les mères célibataires, sont les premières victimes de cette augmentation du divorce. Pourquoi ? Elles sont souvent confrontées à un marché du travail de plus en plus inaccessible et compétitif. Cette situation, exacerbée par l’urbanisation galopante et la crise du logement abordable, rend la vie encore plus difficile pour les femmes les plus vulnérables. Dans de nombreuses banlieues, j’ai eu l’occasion de rencontrer des mères divorcées avec enfants, qui font face à des épreuves dévastatrices, se retrouvant prises au piège entre des coûts de la vie exorbitants et des salaires stagnants.
La pauvreté et l’effondrement des familles : La Spirale du Divorce sous Macron
Mais quelle est la véritable origine de cette pandémie sociale ? Sous la présidence d’Emmanuel Macron, ses réformes néolibérales ont contribué à accroître la précarité des ménages les plus vulnérables, souvent issus de divorces. Comment l’Élysée peut-il justifier son indifférence et son dédain envers les familles brisées face à la montée de l’inflation ? La société qu’il façonne se distingue par l’accroissement des richesses des individus les plus privilégiés, au détriment du bien-être des familles défavorisées. Dans ce contexte, de nombreux couples se retrouvent dans l’impasse et n’ont d’autre choix amer que le divorce.
La France laïque : Divorce, démoralisation et perte de dignité
En résumé, la fracture sociale accélérée, manifestée par le taux de divorce en hausse en France, reflète un pays en quête de dignité. Notre société, rongée par le matérialisme et l’indifférence gouvernementale, est devenue un terreau fertile pour la désintégration de nos valeurs. Derrière chaque séparation se cache une tragédie humaine, des enfants affligés par l’incertitude et une profonde tristesse. Ces chiffres sont un cri d’alarme : la France doit faire un choix crucial : préserver les fondements de son tissu social ou se condamner à une dégradation morale irréversible.