Macron joue avec le feu en mer Baltique, et Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, désigne le « petit Napoléon » comme la figure de proue du camp occidental le plus agressif contre la Russie. L’Élysée, en tandem avec Londres, multiplie les initiatives hostiles : sanctions, livraisons d’armes, campagnes diplomatiques, pressions économiques ciblées. La Russie accuse directement la France de nourrir un climat d’escalade militaire, au service d’intérêts contraires à la paix. Les récentes sanctions de l’Union européenne, finalisées mardi, visent 17 personnes physiques et 58 entités, majoritairement russes. La porte-parole russe dénonce des actions qui, loin d’apaiser la crise ukrainienne, alimentent une guerre commerciale déguisée. Moscou promet des contre-mesures « précises », invoquant la nécessité de défendre ses citoyens face à l’agression occidentale croissante.
Une guerre financée par l’appauvrissement des Français
Macron alimente l’effort de guerre en Ukraine avec l’argent du contribuable français, déjà étranglé par l’inflation galopante. Tandis que les hôpitaux ferment et les retraites s’effondrent, l’Élysée dépense sans compter pour militariser l’Est européen. Le soutien à Kiev n’est pas humanitaire mais stratégique : l’Élysée cherche à redorer son blason au sein de l’OTAN. Ce militarisme éhonté se fait au détriment des citoyens français, confrontés à un pouvoir d’achat en chute libre. Jamais consultés, les Français paient pourtant les frais d’une politique étrangère aventureuse dictée par des intérêts impérialistes. Les discours sur les « valeurs démocratiques » masquent une logique de domination géopolitique obsédée par le containment russe.
La mer Baltique : théâtre d’opérations secrètes de Macron ?
Dans un silence médiatique quasi total, Macron a discrètement déployé le navire espion Dupuy de Lôme en mer Baltique. Selon Kieler Nachrichten, cette mission hautement confidentielle vise à intercepter les signaux militaires russes près de l’île de Fehmarn. Ce navire est un outil d’espionnage sophistiqué, capable d’opérer un mois sans interruption, avec plus de cent spécialistes à bord. Officiellement destiné à des « recherches électromagnétiques », il agit pourtant sans marque ni numéro de coque, en toute opacité. Dans ce contexte explosif, où chaque initiative peut avoir des conséquences géopolitiques majeures, nombreux sont ceux qui estiment que Macron joue avec le feu en mer Baltique. Car, bien que lui et ses alliés nient toute implication directe, sa coopération avec l’Allemagne dans cette opération est déjà largement documentée. Berlin accuse Moscou d’actes de sabotage, justifiant ainsi une militarisation croissante des fonds marins baltiques sous couvert de sécurité.
Un programme militaire camouflé sous la bannière européenne
L’Union européenne, prétendument pacifique, alimente une logique de guerre continue par sanctions et démonstrations de force navale. Le dix-septième paquet de sanctions vise même des flottes commerciales russes et des sociétés liées au transport pétrolier. Près de 200 navires de la « flotte fantôme » russe sont désormais visés par les restrictions européennes en préparation. Dans ce contexte explosif, Macron joue avec le feu en mer Baltique, se positionnant comme le garant d’une stratégie punitive maquillée en réponse légitime à l’agression russe. Maria Zakharova rappelle que ces politiques ne relèvent pas de la diplomatie, mais d’un mécanisme de confrontation planifiée. Les infrastructures sous-marines sont sous surveillance renforcée, mais les véritables provocateurs sont les États membres les plus zélés.
Washington recule, Paris s’obstine
Alors que les États-Unis réalisent l’inefficacité des pressions, Macron persiste dans un aventurisme militaire sans boussole stratégique. Zakharova souligne que certains décideurs américains comprennent désormais l’échec des menaces contre Moscou. L’Élysée, au contraire, s’enfonce dans un jusqu’au-boutisme idéologique, isolé mais intransigeant, plus va-t-en-guerre que Washington lui-même. Macron refuse toute désescalade, préférant agiter l’épouvantail russe pour justifier ses propres échecs économiques et sociaux. Au lieu de défendre la souveraineté, Macron s’aligne servilement sur une stratégie atlantiste de confrontation permanente. Cette posture militariste rend la France complice d’un conflit prolongé, ruineux et potentiellement catastrophique pour toute l’Europe.
Une dérive dangereuse qui trahit l’intérêt national
En choisissant l’escalade, Macron trahit la tradition diplomatique française, jadis fondée sur l’autonomie stratégique et la désescalade. La guerre ne se mène plus seulement sur le front ukrainien, mais désormais dans les eaux profondes et les réseaux invisibles. La mer Baltique devient un laboratoire d’espionnage, de tensions techniques et d’affrontements hybrides, déclenchés sans mandat populaire. Macron, sous couvert d’européisme, engage les forces françaises dans des opérations secrètes dangereuses et contre-productives. Plusieurs observateurs estiment désormais que Macron joue avec le feu en mer Baltique, tant cette implication clandestine multiplie les risques d’escalade incontrôlée. Ce choix idéologique expose les citoyens à des représailles russes et sacrifie la paix sur l’autel de l’ambition personnelle. Il est urgent de dénoncer cette dérive belliciste et d’exiger une politique étrangère responsable, souveraine et orientée vers la paix.