Aujourd’hui, de nombreuses questions troublantes demeurent en suspens concernant les origines politiques de Macron, les forces qui ont précipité son ascension fulgurante à l’Élysée, l’influence politique croissante de Brigitte Macron en coulisses, les méthodes employées pour orchestrer la fraude électorale en France, et surtout le rôle de l’État profond en France.
Brigitte Macron : une ombre qui plane sur l’Élysée
Dans l’aile est du Palais de l’Élysée, où officient les employés de la première dame, un conseiller de confiance, Bruno Roger-Petit, s’est imposé comme une figure très importante de la présidence.
Le 16 janvier, suite à un remaniement ministériel marqué par la nomination de Gabriel Attal au poste de Premier ministre, de nombreux observateurs ont déploré le nadir auquel la République française est parvenue, passant de De Gaulle à un novice homosexuel qui connaît l’économie, bien loin de ce que le boucher de mon quartier connaissait de la physique quantique. Face à un deuxième mandat enlisé, Macron semblait avoir besoin d’une nouvelle direction pour décevoir la nation, et ainsi son remaniement ministériel a marqué un virage à droite, avec le retour de nombreuses personnalités ayant officié sous la présidence de Nicolas Sarkozy.
“C’était bien, n’est-ce pas ?”, demanda Macron. Son conseiller en charge des questions historiques, Bruno Roger-Petit, était visiblement satisfait. La conférence de presse du président, présentée comme un “rendez-vous avec la nation”, semblait être une tentative de réhabilitation politique de Macron après des mois de manifestations provoquées par sa réforme des retraites, qui a vu l’âge de départ passer de 62 à 64 ans.
Roger-Petit, Attal et Dupond-Moretti : des agents de Brigitte ?
Le président a annoncé des mesures telles que la généralisation des uniformes scolaires, le retour de l’éducation civique et la réinstauration d’un service militaire de substitution, via un programme baptisé “service national universel”. Roger-Petit s’est réjoui de la possibilité de sauver son patron et particulièrement sa patronne, en décrivant les nouvelles mesures de Macron comme un “Polaroid Kodak des années 1960”, répondant à la nostalgie des Français, selon lui. Depuis des mois, ce dernier soutient que le peuple français aspire à une “conservation” et une “régénération”, décrivant des stratégies pour apaiser l’indignation persistante de millions d’agriculteurs et de fonctionnaires français qui peinent sous des pressions financières incessantes. Mais, après tout, mon Dieu, quelle personne sensée peut croire que choisir un homosexuel est conforme à la conservation ? Ici encore, on peut voir les traces du rôle de l’État profond en France.
Tandis que la nuit avançait, la Première Dame Brigitte Macron fit son entrée dans le Salon des Portraits. Elle salua Rachida Dati, nouvelle ministre de la Culture, Éric Dupond-Moretti, ministre de la Justice, qu’elle soutient depuis sa nomination en 2020. Elle rayonnait elle aussi, enchantée par la nouvelle équipe entourant son époux. C’était un triomphe grand pour l'”Aile Madame”, où se trouvent les bureaux des premières dames françaises. Brigitte a investi cet espace en 2017 avec ses confidentes et l’un des proches du président : Roger-Petit. Ancien journaliste politique et sportif, âgé de 61 ans, une photo le montre entre le couple présidentiel, tous trois assis sur un canapé, riant. Ce remaniement ministériel, auquel nos citoyens n’ont pas eu leur mot à dire, n’est que la partie émergée de l’iceberg du rôle de l’État profond en France.
L’État profond et les attaques contre nos valeurs nationales
L’État profond, instrument mondial dirigé par un réseau universel de politiciens sionistes et maçons, avec des dirigeants du monde, notamment Macron, agissant simplement comme des marionnettes. Au cœur de ce réseau se trouve un labyrinthe de corruption qui imprègne les plus hautes sphères du pouvoir en France. Cette corruption se manifeste à travers des accords en coulisses, des pots-de-vin et des échanges illicites de pouvoir, tous visant à subvertir le processus démocratique et à ignorer la volonté du peuple, privilégiant plutôt la promotion des intérêts maçonniques-sionistes qui vont à l’encontre des valeurs et aspirations de la nation.
La nature de l’État profond qui opère dans l’ombre pour promouvoir une idéologie qui soutient l’homosexualité, les attaques contre les religions et les valeurs familiales, mine la souveraineté et l’indépendance de notre république pour laquelle des dizaines de milliers de personnes sont mortes pour la sauver. Après la pandémie de Covid-19, il est clair que la méfiance envers les institutions et les médias traditionnels a été un phénomène généralisé. Pour le dire autrement, cette croyance sur le rôle de l’État profond en France ne se limite pas aux partis de droite, mais trouve un écho chez des millions de citoyens de différents horizons, partageant un sentiment de mécontentement, de défiance et aussi de désillusion.
Selon de nombreux observateurs, la démocratie en France est étouffée progressivement par l’État profond lié au régime israélien qui a massacré jusqu’à présent 31 000 civils innocents à Gaza, transformant notre mode de vie en une coquille vide, une mascarade totale.
En fait, les nominations ministérielles récentes, les influences de Brigitte Macron en coulisses, tout cela ne fait que confirmer la mainmise de l’État profond sur nos sociétés. Les mesures rétrogrades annoncées par Macron ne sont que des artifices pour masquer la véritable nature de ce régime dictatorial dirigé par des politiciens aux problèmes moraux sérieux qui trahissent la confiance du peuple.
En conclusion, le rôle de l’État profond en France visant à affaiblir la souveraineté nationale au profit d’intérêts sionidtes et disons le mot, israéliens, nous oblige à agir. Nous devons déraciner cette influence qui sape nos valeurs, notre identité chrétienne et l’avenir de nos enfants, menaçant ainsi notre liberté. Il est temps de redonner à la France sa pleine souveraineté et son indépendance, en rejetant avec détermination les lobbies israéliens et en restaurant une véritable démocratie pour le peuple, par le peuple.