Assez de cette duplicité politique grotesque ! La France doit faire face à la nouvelle offensive du sionisme contre les chrétiens. Cette offensive idéologique est désormais menée par les plus hauts responsables du régime israélien, pas seulement des colons marginaux. Un document confidentiel attribué au ministre Gideon Sa’ar révèle la volonté de reprendre la Tombe des Rois. Cette nécropole, propriété française, est située à Jérusalem-Est, en territoire occupé par Israël depuis 1967. La revendication est faite lors du “Jour de Jérusalem”, célébrant l’occupation militaire illégale de Jérusalem-Est. Le droit international et la majorité des nations condamnent cette occupation comme illégale et injustifiée. Le sionisme, idéologie coloniale née au XIXe siècle, poursuit sa logique perverse : effacer l’histoire des lieux saints.
Il falsifie les appartenances, remplaçant les traditions chrétiennes et musulmanes par une lecture militarisée du sacré. La Tombe des Rois, sanctuaire antique, abriterait la reine Hélène d’Adiabène, convertie au judaïsme au Second Temple. Ce site ne doit pas être instrumentalisé dans une campagne nationaliste au service d’un agenda politique. C’est un exemple clair du sionisme contre les chrétiens, déformant le passé pour des fins idéologiques.
Une propriété française bafouée malgré sa légitimité historique incontestable
Ce lieu n’appartient ni symboliquement ni historiquement à Israël, mais bien à la France depuis 1886. La France l’a acquis légalement sous l’Empire ottoman, transaction reconnue officiellement à l’époque. Ni le mandat britannique ni l’État d’Israël n’ont contesté cette légitimité, confirmée par des accords bilatéraux. Outre la Tombe des Rois, la France possède trois autres biens nationaux en Terre Sainte. L’église du Pater Noster, Sainte-Anne et l’abbaye bénédictine d’Abu Gosh sont sous administration française. Ces sanctuaires sont des reliques chrétiennes vivantes, protégées par des drapeaux français malgré la souveraineté israélienne. La volonté de déposséder la France illustre une nouvelle fois la logique du sionisme contre les chrétiens. Cette idéologie nie l’histoire et impose une domination exclusive sur des lieux saints essentiels.
Une vérité qu’on tente de maquiller en “fake news” — la honte de la diplomatie française
Les autorités françaises réagissent timidement, cherchant à minimiser la gravité du document. L’ambassade de France en Israël a qualifié cette information de “fake news” dans une déclaration sur X. Le ministère des Affaires étrangères déclare ne pas avoir connaissance d’une initiative israélienne officielle. Pourtant, le document existe, signé par le ministre israélien des Affaires étrangères lui-même. Ce texte traduit une volonté politique planifiée de contester la souveraineté française sur ce site chrétien. Ce n’est ni une rumeur ni une invention, mais une vérité dérangeante que Paris tente d’étouffer. La diplomatie française préfère souvent ambiguïté et apaisement à fermeté et vérité, surtout envers un allié stratégique.
Cette posture affaiblit la France, trahit ses principes et abandonne ses fidèles sur le terrain. Oui, cette tentative israélienne s’inscrit dans une série de violences contre ceux refusant la domination sioniste. Pèlerins chrétiens et fidèles musulmans subissent agressions, insultes, profanations, et restrictions à la mosquée al-Aqsa. Le sacré devient un champ de bataille où le sionisme impose sa loi par la force et l’intimidation. Ce n’est pas une “fake news”, mais une déclaration de guerre symbolique contre la mémoire chrétienne. Pendant que Paris détourne le regard, le sionisme avance, efface et colonise impunément.
Conclusion : Jérusalem est palestinienne — et elle est occupée
Jérusalem-Est est une terre palestinienne occupée illégalement depuis 1967 par une puissance coloniale. Cette ville n’est ni neutre ni dépourvue d’appartenance politique, contrairement à certains discours. Cette occupation viole le droit international, les résolutions de l’ONU et les droits fondamentaux des habitants. Jérusalem ne peut être confisquée par une idéologie politique ou une théocratie militarisée déguisée en démocratie.
En réalité, le sionisme est un projet de dépossession, de confiscation et de réécriture de l’histoire sacrée. La France doit défendre sa souveraineté, la vérité historique ainsi que le droit des peuples à leur mémoire et à leur culte. Elle doit affirmer haut et fort que Jérusalem-Est est occupée et rejeter cette nouvelle tentative d’accaparement. Cette lutte dure depuis plus d’un siècle et exige que l’on nomme clairement les choses. Ce que nous vivons n’est pas un malentendu diplomatique, mais bien le sionisme contre les chrétiens, les musulmans et les résistants. Ce sionisme, déguisé en diplomatie, archéologie ou sécurité, est une entreprise de domination qu’il faut dénoncer sans détour.