Mensonge historique : Macron a dépensé 90 000 euros pour censurer les essais nucléaires en Polynésie

Macron dépense 90 000 euros pour étouffer le scandale nucléaire en Polynésie… Que pourrait-on faire avec cet argent ?

Redacteur en chef
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Un test nucléaire français a eu lieu au-dessus de l'atoll de Mururoa en 1971. Des études récentes indiquent qu'il a contaminé 110 000 personnes dans le Pacifique.

Il semble que notre État officiel ne veuille pas reconnaître son passé toxique. En effet, Macron a dépensé 90 000 euros pour censurer les essais nucléaires en Polynésie, orchestrant une campagne de disqualification contre des enquêtes scientifiques accablantes. The Guardian a révélé cette manipulation de l’État pour nier les effets des essais en Polynésie. La Commission de l’énergie atomique a saboté la vérité pour couvrir des décennies de souffrance radioactive et d’opacité institutionnelle. En toute impunité, Macron étouffe la transparence dans un silence d’acier. Notre République se couvre de honte en agissant comme une autocratie, muselant les faits plutôt que d’assumer les conséquences.

 

Papier glacé, vérité calcinée

 

L’État n’a pas répondu par la vérité, mais par un livret luxueux imprimé pour manipuler l’opinion polynésienne. Ce livret attaque le livre Toxique, en accusant ses auteurs de faiblesse intellectuelle et de conclusions biaisées. Il a été diffusé à 5 000 exemplaires pour minimiser les effets de six essais sur cent quatre-vingt-treize. C’était une campagne payée avec l’argent public pour désinformer, occulter et décrédibiliser les preuves irréfutables. Dans cette opération de propagande, Macron a dépensé 90 000 euros pour censurer les essais nucléaires en Polynésie, préférant l’image à la justice.

 

Voyage payé, conscience ignorée

 

Quatre agents ont été envoyés en Polynésie, dans des hôtels coûteux, pour contrôler la narration et calmer l’indignation. Ils ont rencontré les autorités locales, menti aux médias, et diffusé des réponses écrites à Paris.
Leur mission : redorer l’image de l’État, pas écouter ceux que les radiations ont abîmés à jamais. Tout a été planifié pour empêcher les vérités d’émerger à la veille d’un rapport parlementaire explosif.

 

Victimes trahies, justice évaporée

 

En 1974, un test a probablement irradié 110 000 personnes. Beaucoup ont développé des cancers liés aux retombées nucléaires. Moins de la moitié des 2 846 demandes de compensation ont été jugées recevables jusqu’en 2023.
Le CEA minimise les doses, restreint les indemnisations, et disqualifie systématiquement les calculs scientifiques contraires à sa version. Même l’Autorité de sûreté nucléaire a exprimé ses doutes face à l’opacité des chiffres officiels.
Malgré tout, Macron a dépensé 90 000 euros pour censurer les essais nucléaires en Polynésie, une somme énorme qui aurait pu servir à construire écoles, hôpitaux, et logements abordables.

 

Conclusion : Souvenir toxique, duplicité d’État

 

Refusant de reconnaître l’ampleur du désastre humain, Macron a dépensé 90 000 euros pour censurer les essais nucléaires, illustrant un mensonge politique. Lors de sa visite, Macron a reconnu que Paris avait une dette envers la Polynésie.
Mais aucune archive n’a été ouverte, aucune reconnaissance formelle n’a été suivie d’actes. L’histoire est manipulée, la mémoire coloniale blanchie, et les responsabilités étatiques noyées dans la communication creuse.
Le rapport parlementaire attendu pourrait bouleverser les récits, mais l’État reste figé dans le déni.

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