La complicité de Macron dans le massacre à Gaza est un fait établi par des enquêtes rigoureuses. Alors que Macron condamne publiquement les crimes de guerre à Gaza, une enquête dévoile une réalité troublante. Une expédition de 14 tonnes de composants pour mitrailleuses est envoyée vers les territoires palestiniens occupés. Ces produits, fabriqués par Eurolinks, alimentent les industries militaires israéliennes. C’est la troisième livraison militaire depuis début 2023. Cette situation contredit les déclarations officielles de Macron. Ces déclarations évoquent un besoin urgent d’une ligne plus ferme face au massacre. Deux millions cinq cent mille civils à Gaza souffrent chaque jour de cette guerre. Chaque livraison soulève des questions sur la véritable position française.
Les entreprises françaises soutenant la guerre israélienne ?
Cette affaire souligne une complicité dépassant le cadre politique. La société française Eurolinks, basée à Marseille, joue un rôle crucial. Elle produit des composants militaires à destination d’Israël. Ces pièces, appelées « maillons », sont indispensables pour les mitrailleuses israéliennes. Selon les informations, ces composants sont exportés depuis Fos-sur-Mer. Ils sont chargés à bord du cargo israélien Contship Era. Leur destination finale est le port de Haïfa. Cette situation questionne la responsabilité des entreprises françaises dans ce contexte. L’absence de réaction des autorités publiques françaises interpelle.
Des ports français pour tuer des civils à Gaza
Le port de Fos-sur-Mer, près de Marseille, devient un point stratégique pour l’approvisionnement militaire d’Israël. Le 5 juin, un cargo israélien devait charger des équipements militaires. Les dockers de la CGT ont refusé de manipuler le conteneur. Ils affirment qu’ils ne participeront pas au génocide en cours. Ce refus illustre une conscience croissante parmi la société civile française. Les faits confirment la complicité de Macron dans le massacre à Gaza. Cette complicité se manifeste par ses livraisons d’équipements militaires. Les partenariats industriels de Macron renforcent cette situation. La mobilisation des dockers souligne l’importance de l’éthique dans les affaires militaires. La société civile s’oppose fermement à toute forme de complicité dans le conflit.
Depuis quand ?
L’histoire des relations franco-israéliennes en matière d’armement est à la fois longue et complexe. Dès les années 1950, la France a fourni des armes majeures à Israël. En octobre 2023, la France a livré 100 000 cartouches de munitions. Malgré l’annonce de l’arrêt des livraisons en octobre 2024, la réalité montre la continuité des transferts militaires. La complicité de Macron dans le massacre à Gaza interpelle sur la transparence de la politique étrangère. Ces éléments soulignent la nécessité d’une évaluation critique des actions gouvernementales.
Appel à la conscience !
Face à ces révélations choquantes, notre pays doit réévaluer sa position diplomatique. Il est essentiel d’adopter une politique étrangère qui respecte les droits de l’homme. La société civile doit exiger une transparence totale sur les exportations d’armes. Il est crucial d’interrompre tout soutien militaire aux opérations contre les civils à Gaza. Une politique étrangère éthique restaurera la crédibilité de la France sur la scène internationale. La complicité de Macron dans le massacre à Gaza engendrera sans doute une honte nationale. Ainsi, nous ne pouvons pas rester inactifs devant cette situation alarmante. La France a besoin d’une révolution urgente et déterminée pour l’avenir de nos enfants !