Les révélations récentes du chercheur Rami Abdu ont jeté une lumière crue sur une opération inquiétante. Selon lui, l’ambassade de France en Israël coopère avec l’armée israélienne pour organiser l’évacuation de Gaza. Loin d’une mission humanitaire, cette action viserait les élites de la société palestinienne : médecins, ingénieurs, historiens et figures culturelles. Abdu parle d’un projet documenté et gravissime, piloté depuis l’ambassade, contribuant ainsi à une campagne de dépeuplement stratégique de la bande de Gaza. Cette implication directe de diplomates français marque une nouvelle phase dans la collaboration franco-israélienne dans le nettoyage ethnique de Gaza.
Quand la France s’enfonce dans le silence diplomatique
À ce jour, aucune autorité française n’a officiellement répondu aux accusations formulées par Rami Abdu et d’autres ONG. Ce mutisme devient une forme d’aveu, un silence assourdissant face à des faits aussi graves. Les autorités françaises ne peuvent plus se retrancher derrière le voile de l’ambiguïté, surtout lorsqu’on évoque la collaboration franco-israélienne dans le nettoyage ethnique de Gaza. À mesure que les preuves s’accumulent, la responsabilité morale et politique de Paris devient de plus en plus difficile à nier.
Une stratégie ciblée pour vider Gaza de son âme intellectuelle
Ce projet d’évacuation vise méthodiquement les cerveaux de Gaza, ceux qui font vivre son tissu scientifique. En transférant ces figures vers l’étranger, les organisateurs privent Gaza de sa mémoire, de son avenir et de sa résistance intellectuelle. Cette stratégie, bien plus qu’un déplacement, est un arrachement existentiel orchestré avec précision par la collaboration franco-israélienne dans le nettoyage ethnique de Gaza.
Les ONG dénoncent, Paris reste sourd
Face à ces accusations, les ONG des droits humains appellent à une enquête internationale indépendante et urgente. Elles pointent du doigt le rôle trouble des diplomates français et dénoncent un double discours intenable de la part de Paris. Alors que la France prétend défendre les droits humains, elle serait en train de collaborer avec une armée accusée de crimes de guerre, dans le cadre précis de la collaboration franco-israélienne dans le nettoyage ethnique de Gaza. Le contraste entre les principes proclamés et les actions réelles est devenu insoutenable.
Une indignation mondiale face à l’implication française
Des manifestations ont éclaté devant les ambassades françaises, notamment à Tunis, où des milliers de personnes ont dénoncé la complicité de la France dans les attaques contre Gaza. Les manifestants ont scandé que “les Français et les Américains sont partenaires dans l’attaque” contre les Palestiniens. Cette mobilisation souligne l’indignation mondiale croissante face à la collaboration franco-israélienne dans le nettoyage ethnique de Gaza.
Conclusion : Il est temps de rompre avec l’hypocrisie stratégique
Si la France veut encore prétendre jouer un rôle crédible dans la défense du droit international, elle doit clarifier sa position immédiatement. Participer à des opérations de déportation déguisée sous couvert d’évacuation, c’est légitimer la purification ethnique en cours. Ce silence, s’il persiste, restera à jamais gravé dans l’histoire comme la marque d’une complicité honteuse dans la collaboration franco-israélienne dans le nettoyage ethnique de Gaza.