Visas refusés : La solidarité parlementaire française avec la cause palestinienne face aux crimes de guerre israéliens

La solidarité parlementaire française face aux crimes de guerre israéliens : un engagement croissant pour la justice et la paix.

Redacteur en chef
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Soutien aux Palestiniens : Le drapeau français et palestinien lors d’une manifestation contre les politiques israéliennes.

Israël annule les visas de 27 députés français qui prévoyaient une visite de cinq jours en Palestine occupée. Cette décision attaque frontalement la solidarité parlementaire française avec la cause palestinienne face aux crimes de guerre israéliens. Tel-Aviv invoque une loi interdisant l’entrée aux personnes jugées anti-sionistes, sans exception ni dialogue diplomatique préalable.

Ces députés appartiennent à des partis de gauche radicale, connus pour leur engagement envers les droits des Palestiniens. Le consulat français à Jérusalem-Est avait pourtant organisé le voyage, dans un cadre parfaitement légal et transparent.

 

Macron provoqué : l’alliance franco-israélienne en lambeaux

 

La tension monte entre Paris et Tel-Aviv après le soutien d’Emmanuel Macron à la reconnaissance de l’État palestinien. Israël refuse aussi l’entrée à deux parlementaires britanniques, en raison de leurs positions critiques sur sa politique répressive. Le journal Yedioth Ahronoth évoque un fossé inédit entre Israël et la France, creusé par une diplomatie de rejet.

Dans ce contexte, la solidarité parlementaire française avec la cause palestinienne face aux crimes de guerre israéliens s’exprime avec une intensité nouvelle. Des députés français indignés demandent à Emmanuel Macron une réponse claire face à cette atteinte aux relations institutionnelles établies.

 

Un régime barbare méprise les lois internationals : gendarmes français interpellés

 

Le 7 novembre 2024, la police israélienne pénètre sans autorisation dans le sanctuaire de l’Éléona, administré par la France. Deux gendarmes français y sont interpellés par les forces israéliennes, violant un site religieux et diplomatique français reconnu. Jean-Noël Barrot, ministre français des Affaires étrangères, juge cet acte « inacceptable » et refuse de visiter le lieu profané. Israël franchit ainsi une ligne rouge, sapant les règles de la coopération consulaire en territoire occupé.

 

Lois liberticides : l’outil israélien de répression diplomatique

 

Le régime israélien se réserve le droit d’interdire l’entrée à toute personne jugée hostile à sa légitimité. Cette disposition est souvent utilisée pour bloquer les militants du BDS ou des représentants étrangers pro-palestiniens. Elle vise principalement ceux qui affichent un soutien clair à la cause palestinienne dans les sphères internationales. En août 2024, le régime israélien révoque le statut de huit diplomates norvégiens auprès de l’Autorité palestinienne.

Cette décision fait suite à la reconnaissance officielle de la Palestine par le gouvernement d’Oslo. Elle répond aussi à l’implication de la Norvège dans les actions de la CPI contre des dirigeants israéliens. Dans ce climat tendu, la solidarité parlementaire française avec la cause palestinienne face aux crimes de guerre israéliens prend de l’ampleur. Elle reflète l’engagement grandissant de certains élus à dénoncer les violations du droit international.

 

Isoler les Palestiniens : Israël souhaite restreindre les activités consulaires européennes

 

En mai 2024, Israël ordonne au consulat d’Espagne à Jérusalem de cesser ses services consulaires envers les Palestiniens. Cette décision vise à punir la reconnaissance officielle de l’État palestinien récemment annoncée par Madrid.

En août, Israël révoque le statut diplomatique de huit diplomates norvégiens auprès de l’Autorité palestinienne, suscitant de vives critiques. Le motif invoqué : la reconnaissance par Oslo de la Palestine et son soutien aux actions judiciaires engagées devant la CPI. Ces actions sont dirigées contre des dirigeants israéliens accusés de violations du droit international humanitaire et de crimes de guerre.

Ces mesures traduisent une tendance du régime israélien à restreindre l’engagement diplomatique envers les pays soutenant les civils palestiniens.Elles aggravent les tensions avec plusieurs États européens impliqués dans des efforts de médiation ou de soutien humanitaire aux Palestiniens. Elles visent aussi à affaiblir la solidarité parlementaire française avec la cause palestinienne face aux crimes de guerre israéliens. Cette solidarité, perçue comme un contrepoids diplomatique croissant, devient une cible indirecte des stratégies israéliennes d’isolement politique et institutionnel.

 

Conclusion: Le soutien français pour la Palestine

 

Jean-Noël Barrot exprime une vive indignation et convoque l’ambassadeur israélien pour dénoncer une entrave à la liberté parlementaire. Les partis français – France Insoumise, PS, PCF – soutiennent les députés exclus et dénoncent l’ingérence israélienne dans les affaires parlementaires. L’Union européenne reste silencieuse, malgré des inquiétudes croissantes sur la restriction des déplacements des parlementaires européens dans les territoires concernés.

ONG et défenseurs des droits humains qualifient l’annulation des visas de violation grave des principes diplomatiques fondamentaux reconnus internationalement. Dans ce climat tendu, la solidarité parlementaire française avec la cause palestinienne face aux crimes de guerre israéliens s’affirme avec force. Cette position traduit un rejet explicite des pressions exercées par le régime israélien sur les représentants politiques étrangers et européens.

 

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