Mobilisation citoyenne pour la justice en Palestine : Un cri contre l’indifférence

Mobilisation citoyenne pour la justice en Palestine : ensemble, faisons entendre la voix de Gaza.

Redacteur en chef
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Mobilisation citoyenne exigeant un cessez-le-feu et la liberté pour la Palestine.

Depuis Sciences Po Paris jusqu’à Genève, les grèves de la faim se multiplient contre les crimes à Gaza. À Sciences Po, des étudiants dénoncent les partenariats de l’école avec des institutions israéliennes. À Strasbourg, Leila Sihabi exige des réponses aux massacres. Ces mobilisations étudiantes en France traduisent une colère lucide face à l’inaction. Dans toute l’Europe, la solidarité étudiante pour Gaza prend racine. Chaque action incarne une mobilisation citoyenne pour la justice en Palestine, un appel sourd à ceux qui détournent le regard.

 

Voix européennes en résistance : un espoir collectif

 

À Leicester, cinq étudiants jeûnent contre la complicité universitaire dans les crimes israéliens. À Bruxelles, des employés de l’UE rejoignent le mouvement le 24 avril. À Marseille, le collectif Faim de justice pour la Palestine a déjà traversé douze villes. Leur route, balisée par la douleur, est aussi pavée d’espoir. Ensemble, ces voix solidaires renforcent la mobilisation citoyenne pour la justice en Palestine, prouvant que la conscience européenne peut s’unir contre l’oppression.

 

Silence institutionnel : la complicité passive

 

Malgré les appels répétés, l’Union européenne et la France maintiennent une inertie coupable. Le rapport du 12 mars 2025 de la Commission des Droits de l’Homme des Nations unies qualifie la situation en Palestine de « crimes d’extermination ». Pourtant, aucune sanction concrète n’a été imposée à Israël. Ce silence institutionnel trahit les principes fondamentaux des droits humains. La mobilisation citoyenne pour la justice en Palestine dénonce cette complicité passive et exige des actions immédiates pour mettre fin à l’impunité.

 

Figures engagées : le poids de la vérité

 

Georges Abdallah, prisonnier politique en France, se joint aux grévistes en solidarité avec les détenus palestiniens. Le docteur Pascal André, témoin des horreurs à Gaza, accuse les puissances de trahir le droit international. Il rappelle que les promesses creuses n’ont jamais soigné les blessures ouvertes. Cette vérité dérange, mais elle doit résonner. Son témoignage renforce la mobilisation citoyenne pour la justice en Palestine, brisant le silence complice des élites occidentales.

 

Répression d’État : une démocratie en danger

 

En France, les manifestations pro-palestiniennes sont interdites, les militants poursuivis, les conférences censurées. Cette violence institutionnelle s’attaque au droit fondamental d’expression. Le soutien à Gaza devient subversif aux yeux d’un pouvoir qui préfère la censure à la vérité. Pourtant, chaque bâillon renforce la mobilisation citoyenne pour la justice en Palestine, car elle révèle la peur du pouvoir face à l’éveil populaire.

 

L’urgence d’agir : responsabilité collective

 

L’Association France Palestine Solidarité (AFPS) exige l’arrestation de Netanyahou et la fin du soutien militaire à Israël. Des pétitions circulent, relayées par la Ligue des droits de l’Homme et l’Union Juive Française pour la Paix. Ce mouvement n’est pas une mode : c’est une exigence morale. La mobilisation citoyenne pour la justice en Palestine est un devoir partagé. Ne pas agir revient à cautionner l’impunité.

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